Le cancer de la prostate est le deuxième cancer le plus fréquent et la cinquième cause de décès par cancer chez les hommes en 2020. Des raisons sur ces causes sont peu connues pour une maladie aussi courante que le cancer de la prostate. Les facteurs de risque identifiés se limitent au vieillissement, aux antécédents familiaux de cette tumeur maligne et à certaines mutations (par exemple BRCA1 et BRCA2) et maladies génétiques (syndrome de Lynch). [1] L’antigène spécifique de la prostate (ASP) est le marqueur tumoral le plus largement utilisé dans le cancer de la prostate. Des études multicentriques ont montré que le pourcentage de fPSA et de PSA peut aider à la détection précoce du cancer de la prostate.
Clinical Significance
Le PSA est le marqueur le plus important du cancer de la prostate et est largement utilisé pour la détection précoce, le diagnostic adjuvant et le suivi des récidives. Les hommes dont le taux de PSAest > 1 ng/ml à 40 ans et > 2 ng/ml à 60 ans présentent un risque accru de métastases du CPa ou de décès des décennies plus tard. Le test PSA est recommandé tous les deux ans pour les hommes à haut risque [2,3].
Lorsque le PSA se situe entre 4 et 10ng/ml, les niveaux de fPSA sont négativement associés à l’incidence du cancer de la prostate. Avec fPSA/tPSA < 0,1, la probabilité d’un cancer de la prostate est de 56 %, tandis que